Depuis une dizaine d’années, le tatouage s’est démocratisé. Il est devenu populaire auprès de toutes les tranches d’âge, après avoir été marginalisé pendant des décennies, ou associé à une certaine virilité. Plus qu’un phénomène de mode, il « se transforme en culture » selon le sociologue David Le Breton. Cependant, se faire tatouer ne doit pas être une décision prise à la légère puisqu’il s’agit :
- d’un dessin permanent réalisé directement sur la peau (même s’il est possible de l’enlever au laser, il laisse quelques traces ou marques sur l’épiderme) ;
- d’un acte ayant des conséquences sur la peau et demandant des soins particuliers, dont une bonne hydratation après sa réalisation.